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lundi, février 1 2010

Acheter ou pas : AC/DC Live at Donington version blu ray

Avec le Blu Ray, la mode est à la remasterisation des classiques du genre, avec des de bonnes réussites comme le concert de Queen à Montréal ou le fiasco du Bercy de Mylène Farmer (à ne pas acheter si l'on a déjà le DVD, ça donnerait une excuse pour viser les corbeaux).

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ACDC ne déroge pas à la règle pour le mythique Live at Donington, sortie en K7 et autre DVD dans les années 90.

Le résultat reste acceptable en terme d'images, car la restauration n'est pas exceptionnelle, du moins largement en dessous de celle de Queen, les couleurs sont un peu fades et manquent de chaleur (ce n'est pas du super 8 non plus). La déception n'est quand même pas de mise ne serait que pour le ratio 16:9 malheureusement absent du DVD No Bull.

Ce que l'on apprécie plus en revanche, c'est la remasterisation du son en DTS, et là ça claque. Les 5 enceintes sont parfaitement utilisées, mais uniquement pour les instruments. Car oui on regrettera l'absence du public (c'est dommage pour un concert) ou tout du moins sa non omiprésence. Mais on pardonnera la personne responsable de la restauration tant le résultat est musicalement bon : de la basse à la batterie, de la guitare aux coups de canons de For those about to rock.

Toujours côté son, quelques couacs sont à signaler : suppression de certains riffs, de certains cris de Angus (dont l'indispensable sur Dirty deeds done dirt cheap), mais au final l'issue sonore est nettement meilleure que sur Stiff upper lip.

Alors cela vaut il l'investissement? Pour les fans sûrement, pour les autres ce concert reste emblématique, et si l'on aime faire trembler les murs de sa maison, s'éclater les oreilles à coups de riffs endiablés d'Angus Young... oui.

lundi, février 1 2010

ça c'est Paris

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mercredi, janvier 27 2010

IPAD

Fin du suspense, l'Ipad a enfin été annoncé ce soir...

Un véritable bijou de technologie, un Ipod touch taille XL, 13,4mm d'épaisseur pour 600 grammes (730 dans la version 3G) qui supporte le MP4, le MOV, l'AAC, le MP3, le WAV et l'Apple loseless.

La mémoire flash oscille entre 16 et 64 gigabits, la résolution est de 1024x768 pour un écran entièrement tactile.

L'objet permettra de se rendre sur internet, de lire des ebooks, d'utiliser le GPS, lire des vidéos et des photos, consulter ses mails, jouer, téléphoner.

Les développeurs seront mis à contribution pour les diverses applications dédiées.

Malheureusement le format Flash ne sera toujours pas pris en charge... dommage pour certains sites internet.

Il sera d'abord disponible sous 60 jours dans sa version WIFI 16GO à 499$, 32 GO à 599$ et enfin 699$ pour le 64GO. La version 3G pourra être distribuée 30 jours plus tard avec des forfaits débutants à 20$ environ et un prix d'appel à 829$ pour la version 64GO.

Cependant, la disponibilité en France pourrait être plus longue, d'ailleurs le site Apple France n'est pas encore à jour.

Pour Steeve Jobs, les "netbooks n'apportent rien" et il entend visiblement le prouver avec ce bijou.

Ce qui est certain, c'est que le Kindle d'Amazon a du soucis à se faire.

Plus de détails sur le site d'Apple USA :

http://www.apple.com/ipad/

mercredi, janvier 27 2010

ACDC vs Iron Man 2

Souvenez vous l'ouverture de Iron Man et son terrible Back in black... ACDC revient sur Iron Man 2 avec cette fois-ci un album dédié.

Le premier extrait n'est ni plus ni moins le grandiose Shoot to thrill enregistré à Buenos Aires, nouvelle capitale du Live après les HD de Madonna ou Police!

Figurerons également sur la playlist Back in black, Rock'n roll damnation, If you want blood, TNT, Highway to Hell, The Razor edge. Une BO explosive pour un film explosif!

samedi, janvier 23 2010

Wallpaper of the week

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samedi, janvier 23 2010

Links of the week (4)

Ou comment convertir une page web en PDF... finis les problèmes d'impression

Les glaçons du Geek

Premiers trailers Alice in Wonderland

Lego ce héro :

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vendredi, janvier 22 2010

Pendant ce temps, chez Sony...

Sony met à jour sa série Z, encore plus design, encore plus puissante, encore plus nomade...

Un concentré de technologie dans 1,5Kgs :

- processeur Intel Core i7-520M à 2,4GHz ou Intel Core i7-620M à 2,66GHz

- de 4 à 6Go de RAM

- carte graphique Nvidia GForce GT330M GPU et Intel HD Graphics avec 1Go

- le technologie sans fil WAN pour une connexion 3G ininterrompue

- un écran LED de 13,1 pouce décrit comme anti-rayure et anti-éblouissement

- châssis en fibre de carbonne

- une autonomie annoncée de 5h30

- lecteur de carte SDHC et bien sûre MS

- clavier rétro éclairé

Il faudra quand même débourser entre 1700 et 1800€ et patienter jusqu'en mars 2010. Quelques photos en attendant...

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vendredi, janvier 22 2010

Et le 27 janvier...

C'est le buzz du moment, celui qui fait parler tous les geeks, languir la presse et les sites spécialisés... mais que va nous présenter Apple le 27 janvier? Un Iphone avec un OS 4.0? Un Macbook reversible? La I tablet ou I Slate?

La rumeur la plus crédible reste celle de la tablette Apple dont on sait déjà qu'elle sera 3G, que Orange fera parti des distributeurs, qu'elle disposera d'une surface entièrement tactile, permettra la lecture audio et vidéo. Le prix de cet IPod touch grand format (entre 9 et 10 pouces) avoisinerait les 800$.

Pour le reste le nouvel OS pour Iphone se précise avec l'apparition du multitâche, ainsi que l'Iphone 4G. La recrudescence de promos sur l'Iphone 3G, offertes par les différents opérateurs au cours de ce mois de janvier, ne fait que confirmer un peu plus le projet. Un moyen de ne pas se retrouver dans la même situation que l'année dernière, à savoir des clients mécontents d'avoir acheté des appareils quinze jours avant que les prix ne soient cassés sur les anciens modèles, et le risque d'avoir des stocks inépuisables.

Enfin, on parle de plus en plus d'un Macbook équipé d'un écran tactile et reversible.

Voici quelques images glanées sur le net : fake ou réalité?

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mercredi, janvier 20 2010

Acheter ou pas : le CD de Muse "The Resistance"

Après la dernière tournée mégalo de Muse, le trio nous revient avec un nouvel opus tout aussi bien surprenant, qu'irritant, annoncé comme leur meilleure réalisation jusqu'ici.

Si Uprising se montre nerveux, d'autres morceaux comme Undisclosed Desires ou Guiding light sont beaucoup plus nuancés, bien plus proches de la pop que du rock, bien plus proche du tube que du chef d'oeuvre.

United States of Eurasia sort du lot, même si on y trouve un parfum de déjà vu, un mélange de Queen, de Who ou autres Led Zeppelin, la couleur de Muse en plus. Resistance quant à lui lorgne trop vers Queen, dans ses côtés les plus clichés et les plus agaçants.

Et puis il y a les classiques du genre comme MK ultra, indispensables pour retrouver du Muse tel que découvert il y a plus de dix ans.

Arrive pour finir cette fameuse Symphonie en trois actes : Matthew Bellamy est un excellent musicien, un compositeur créatif et inventif et il y a mis tout son talent, n'y doutons pas. Cependant, force est de constater que le résultat n'est pas non plus du Beethoven et laissera moins de traces qu'un Careful with that Axe Eugene ou qu'une Ouverture from Tommy.

Alors pourquoi accrocherions nous au bout du compte ? Parce que l'on ne reprochera pas aux anglais d'y avoir mis de l'émotion et de la qualité, tant au niveau recherche que réalisation (le son est dune qualité exceptionnelle), ce qui laisse perplexe au bout du compte et mitigé sur le résultat.

Cet album va en agacer plus d'un et en laisser d'autres plus songeurs et finalement seul le temps dira si nous avons affaire à un chef d'oeuvre, ou à une étoile filante du rock.

Plusieurs écoutes seront indispensables pour être réellement objectif, néanmoins Muse essaie de se faire passer pour ce qu'il n'est pas (les anglais ne sont pas Queen, Led Zeppelin ou Radiohead) et ce de façon un peu trop répétitive, ce qui a tendance à agacer.

Note : 5/10

Playlist :

1. Uprising - 2. Resistance - 3. Undisclosed Desires - 4. United States Of Eurasia - 5. Guiding Light - 6. Unnatural Selection - 7. MK Ultra - 8. I Belong To You - 9. Exogenesis: Symphony Part 1 - 10. Exogenesis: Symphony Part II - 11. Exogenesis: Symphony Part 3

lundi, janvier 18 2010

Acheter ou pas : The XX - XX

Une intro qui claque, une ambiance aérienne, une réalisation léchée, des rythmes entrainants, des duos qui tiennent la route, The XX, quatuor anglais, est la bonne surprise de la fin d'année 2009 !

A la fois rock et trip hop, lové entre Lou Reed, Bjork ou The Cure, il est difficile de décrocher de cet album inclassable (ne veut pas dire élitiste) bien maîtrisé et surprenant pour une première.

Impossible ne pas accrocher au lancinant Heart skipped a beat, à l'Intro ovni de l'album, à l'entêtant Basic Space. Laissez vous emporter par Fantasy, aspirer par Shelter, envouter par Infinity.

Côté son la qualité est au rendez-vous, même si à certains moments on peut regretter un certain manque de punch pour un album électro-rock.

Cet album est une réussite et l'on reparlera sûrement de ce groupe.

Note : 7/10

Playlist :

1. Intro 2. Vcr 3. Crystalised 4. Islands 5. Heart Skipped A Beat 6. Fantasy 7. Shelter 8. Basic Space 9. Infinity 10. Night Time 11. Stars

samedi, janvier 16 2010

Acheter ou pas : le DVD The Killers at The Royal Albert Hall

Non pas que ce DVD soit mauvais ou l'ambiance absente, mais il faut être honnête la qualité sonore n'est pas au rendez-vous... Le Royal Albert Hall, au même titre que l'Olympia, possède une acoustique de bonne qualité, malheureusement on ne peut s'empêcher de penser qu'une partie du son est absente (manque de basses entre autre).

Pour le reste, l'image est de bonne qualité, le montage original avec des aller retours dans les coulisses (sans exagération). La playlist vaut le détour puisqu'elle reprend l'essentiel du fond de commerce du groupe. En définitive, si l'on souhaite faire l'achat de l'objet, cela vaudra la peine ne serait-ce que pour pénétrer dans ce lieu unique, mais il ne faudra pas s'attendre à faire bouger vos murs... une autre fois peut-être? Pour le coup, le prétexte sera sûrement plus rentable sur le DVD de Simply Red.

Au-delà de ces considérations, on sent que le groupe s'est amusé lors du film mais fait encore preuve de trop de modestie dans son jeu de scène. Gageons que la prochaine tournée rattrapera sûrement ce défaut.

Note : 5/10

samedi, janvier 16 2010

Acheter ou pas : sa place pour Dutronc

20H45, dans un Zénith bondé, la poursuite fixe un fauteuil club dans lequel Jacques Dutronc trône magistralement, sans cigare, sans whisky. Après une première partie anecdotique (digne d’un « Vivement dimanche » spécial Corse avec Charlie Oleg en invité), la grand messe s’apprête à démarrer un troisième soir de suite, le public quinquano-sexa va pouvoir retrouver ses vingt ans.

Comment allions-nous retrouver l’homme au cigare décapité, à la soixantaine trahissante ? 17 ans d’absence, ça laisse des traces ou si peu… Les premières notes ne trompent pas, même si la voix est restée la même, elle est parfois légèrement hésitante, d’autre fois étouffée, mais incroyablement présente. 1h45 d’enchainements de tubes, réorchestrés mais pas défigurés… Le Cactus, Le Petit Jardin, Gentleman cambrioleur, J’aime les filles, La fille du Père Noël… Seul manque à l’appel L’hôtesse de l’air… Dutronc s’amuse avec son public, qui le lui rend raisonnablement bien.

Dans un décor sobre et intimiste, l’orchestration est à la hauteur, même si la pauvre choriste a parfois l’air de se demander ce qu’elle est venue faire parmi tous ces vieux. Heureusement, son air de flûte sur Paris s’éveille nous rappelle qu’elle n’est pas la potiche que l’on pourrait croire, venue pour faire figuration et pouvoir dire un jour à ses enfants « Sais-tu qui est Dutronc p’tit con ? ».

Vincent Lindon vient pour une petite apartée sur Tous les goûts sont dans la nature, pas inoubliable, pas catastrophique non plus, un peu plus potiche que la vraie, mais sa timidité lui sert d’alibi.

Après 1h45 de titres enchainés, le Zénith s’éveille, le public est debout pour un rappel sur Les Cactus, enchaîné par un autre sur Et moi, et moi, et moi, puis La fille du Père Noël. Les plus vieux se déhanchent comme au bon vieux temps, Madame est prête à sauter sur la scène avant qu’elle ne réalise que la hauteur des estrades, ce n’est plus ce que c’était…

Que cela ne plaisent aux grincheux qui voyaient en ce come back un grand coup marketing, c’était du grand Dutronc malgré les années accumulées, un moment légendaire et inoubliable, parole de gamin.

23h les portes du Zénith s’ouvrent sur une esplanade plus enfumée que ne l’aura été la salle, la grand messe s’achève, le public est envouté et certains se disent déjà « vivement demain ».

jeudi, janvier 14 2010

Acheter ou pas : le CD de Norah Jones "the fall"

A l'attente du nouvel album de Norah Jones, plusieurs questions étaient en suspend : sa voix sera-t-elle toujours aussi envoûtante? Son côté jazzy sera-t-il toujours aussi réussi? A l'écoute des premières notes de l'album, on comprend que la belle américaine a pris le parti de changer de cap, de surfer sur une vague pop-folk, loin, très loin de ce qui a fait sa notoriété.

La résultante est que si l'opus est agréable à écouter, il se rapproche de ce qu'ont déjà pu faire les Tori Amos, Heather Nova ou autres Sheryl Crow, ni en mieux, ni en moins bien. Au bout du compte on reste sur notre faim avec un goût d'inachevé, sûrement trop exigeants d'avoir espéré un album plus ambitieux.

La réalisation reste léchée, le charme de la belle Norah continue d'opérer, mais sans excès. La chanteuse s'attaque à un style déjà largement éprouvé et risque de décevoir plus d'un fan.

Pour le reste, les mélodies sont agréables à l'écoute et l'album fourmille de tubes potentiels. Mais c'est bien là que le bas blesse, Norah Jones avait réussi à s'imposer en s'écartant des canons des albums commerciaux à la production hautement industrielle et là force est de constater que l'on est en plein dedans.

Note : 5/10

Playlist :

1. Chasing Pirates 2. Even Though 3. Light As A Feather 4. Young Blood 5. I Wouldn'T Need You 6. Waiting 7. It'S Gonna Be 8. You'Ve Ruined Me 9. Back To Manhattan 10. Stuck 11. December 12. Tell Yer Mama 13. Man Of The Hour

mercredi, janvier 13 2010

Acheter ou pas : le DVD Kings Of Leon "Live at the O2"

Après le très médiatique "Only by the night", il est certain que les fans de Kings of Leon attendaient beaucoup du groupe sur sa tournée... Ce DVD restitue avec fidélité l'ambiance de cette rencontre avec le public, à la fois intimiste, explosif et raisonnablement ambitieuse.

Cet objet vaut le détour, vous ne serez pas déçu de ce son à part, de cette voix unique, vous entrerez vite dans l'ambiance pour ne plus décrocher. Que ce soit en Dolby 5.1 ou en stéréo, la qualité est de mise, l'image parfaite.

A ceux qui s'attendent à des effets hors normes dignes des grosses machines industrielles comme U2 ou les Stones, passez votre chemin, le ton est nettement au-dessous et le groupe a tout misé sur le répertoire et l'ambiance.

En revanche, ceux qui courent après les bonus seront déçus, si tant est que ce soit ce que l’on recherche vraiment.

En terme de playlist, les classiques du groupe sont au rendez-vous et le public le leur rend bien. C’est d’ailleurs le point fort de ce DVD, la réalisation nous plonge au cœur du public et capte la moindre émotion, les moindres soubresauts.

Le son du groupe est quant à lui fidèlement restitué, la batterie claque, la guitare est présente sans exagération, la basse à sa place.

Ce DVD (le Blu Ray pour la qualité de l'image vaudra également d'être remarqué) est l'évènement de cette fin d'année.

Note : 7/10

La Playlist :

__• Notion • BE somebody • Taper Jean Girl • My party • Molly's Chambers • Red morning light • Fans • California waiting • Milk • Closer • Crawl • Four kicks • Charmer • Sex on fire • The bucket • On call • Cold desert • Use somebody • Slow night, so long • Knocked up • Manhattan • Black Thumbnail__

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